Communiqué
ILO Asia-Pacific

On estime qu'environ 25 millions de personnes dans le monde sont soumises au travail forcé, obligées de travailler contre leur gré sous la menace d'une sanction. Les produits qu'elles fabriquent peuvent se retrouver sur le marché européen, faisant des citoyens européens des consommateurs involontaires et des contributeurs à cette exploitation. Il faut que cela cesse !
L'UE doit faire le nécessaire pour que nous arrêtions d'alimenter la demande de travail forcé. Les produits issus du travail forcé n'ont pas leur place sur nos étagères. Nous avons besoin de règles européennes fortes pour empêcher ces produits d'entrer sur le marché européen.