GWENDOLINE DELBOS-CORFIELD, CANDIDATE À LA VICE-PRÉSIDENCE DU PARLEMENT EUROPÉEN

PROTÉGER LA DÉMOCRATIE.
RENFORCER LA RESPONSABILITÉ.
REGAGNER LA CONFIANCE.

Ce que Gwendoline défend

"Nous avons besoin d'une politique de tolérance zéro pour lutter contre la corruption, pour éviter qu'elle se développe dans l'obscurité, là où la transparence, la responsabilité et la surveillance font défaut. En tant que vice-présidente du Parlement européen, je travaillerais avec mes collègues de tous les horizons politiques pour que le Parlement européen devienne une force crédible contre la corruption. Nous devons regagner la confiance des citoyens grâce à des mesures rigoureuses. Cela implique une amélioration significative de la protection des dénonciateurs pour le personnel, la création d'un organe d'éthique indépendant doté de pouvoirs d'enquête, l'inscription obligatoire des pays tiers dans le registre de transparence et la déclaration des réunions de lobbying, y compris avec des représentants de pays tiers.”

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Protéger la démocratie

Nous voulons :

  • Un renforcement significatif de la protection des lanceurs d’alerte pour les membres du personnel et les APA, grâce à une révision du statut des fonctionnaires, afin de l'aligner sur les normes de la directive;
  • La création d'un organe d'éthique ayant le pouvoir d'enquêter sur toutes les institutions, organes et agences de l'UE, et disposant des moyens financiers et du personnel nécessaires pour mener à bien ses tâches
  • La mise en place d'une commission spéciale dotée d'un mandat fort sur la transparence et la lutte contre la corruption, afin de garantir la révision des règles d'éthique du Parlement européen sous contrôle public.
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Renforcer la responsabilité

Nous voulons:

  • La réforme du registre de transparence afin de le rendre obligatoire pour toutes les organisations et les représentants de pays tiers faisant du lobbying auprès des institutions de l'UE et d'introduire des règles de transparence plus strictes, en recensant les financements étrangers pour le lobbying lié à l'UE et en garantissant une entrée permettant d'identifier les financements provenant de gouvernements étrangers et d'entités agissant en leur nom;
  • Une obligation spécifique pour les députés de déclarer leurs biens au début et à la fin de chaque mandat, afin d'offrir des garanties supplémentaires contre la corruption ; les emplois secondaires, les cadeaux et les voyages non payés par le Parlement européen doivent être dûment déclarés par les députés, accessibles au public et contrôlés afin d'éviter les conflits d'intérêts;

 

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Regagner la confiance

Nous voulons:

  • Un mécanisme de contrôle fort et indépendant, établi par le biais d'une réforme complète du comité consultatif sur le code de conduite des députés, afin de garantir l'application et le suivi des obligations, y compris avec la participation d'experts externes, et associé à la mise en place d'un mécanisme de plainte permettant à quiconque de signaler des violations potentielles.
  • Des sanctions pour les députés qui ne respectent pas l'éthique, les règles et les règlements : un régime de sanctions clair et renforcé devra être mis en place et appliqué de manière transparente et non pas appliqué uniquement par le Président de manière discrétionnaire.
  • L'introduction d'une période d'attente pour les anciens députés européens afin de garantir qu'ils ne puissent pas utiliser leur position pour influencer la politique.

Profil de Gwendoline Delbos-Corfield

Née en Grande-Bretagne, Gwendoline Delbos-Corfield a grandi à Ivry-sur-Seine avant de rejoindre Grenoble pour ses études, où elle sera élue municipale puis conseillère régionale. Membre de la direction du Parti vert européen de 2012 à 2019, elle lie depuis toujours engagement politique local et engagement européen.

Au Parlement européen, elle s’implique sur les questions constitutionnelles, de libertés civiles, d’État de droit, de droits numériques et plus généralement en faveur de l’égalité des droits (droits des femmes et des personnes LGBTQI+, lutte contre le racisme et les discriminations).

Vice-présidente du groupe Verts/ALE, elle défend une Europe des valeurs, féministe et inclusive et s’attache à ce que l’action des écologistes soit utile à toutes et tous, notamment dans les pays où l’écologie est fragile voire absente.

Elle est membre de la commission des Affaires constitutionnelles (AFCO) et de la commission spéciale sur l’ingérence étrangère dans l’ensemble des processus démocratiques de l’Union européenne, y compris la désinformation (INGE). Elle est suppléante dans les commissions des Libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) et des droits des femmes et de l’égalité des genres (FEMM).
Elle est également membre, entre autres, des intergroupes LGBTI, droits de l’enfant et lutte contre la pauvreté.